Le magistrat français Ghislain Poissonnier, sur le site de l’Association des universitaires pour le respect du droit international en Palestine (Aurdip), en livre une analyse juridique qui fait craindre « des conséquences en chaîne pour la liberté d’expression ». Et d’interroger : « Les droits de producteurs étrangers doivent-ils prédominer sur une liberté politique ? Où est la limite ?