En cause, certes l’agression israélienne à Gaza de l’été 2014, mais également le mouvement BDS, souligne le rapport. « Le monde perd patience et la menace de sanctions va croissant », s’inquiétaient en janvier 2014 une centaine d’hommes d’affaires israéliens dans une lettre publiée sur le quotidien Yedioth Ahronoth à la suite d’une série noire de désinvestissements de la part de banques européennes. Abandonnées, Cemex (exploitation des ressources naturelles), Elbit systems, des entreprises du bâtiment opérant dans les colonies et la banque Hapoalim. Elbit Systems et des banques israéliennes ont été également blacklistées par des fonds de pension danois et suédois. Des multinationales comme G4S (désinvestie notamment par Bill Gates), Veolia et Alstom, Sodastream (par George Soros), Dexia et Caterpillar, ont subi le même sort.