d'introduction encore plus récente, montre des applications encore plus éloignées de la locatio.Il s'agissait de faire sortir la terre de son emploi légal traditionnel, et c'est peut-être à cause de cela qu'Amasis, jouant sur les mots, par une sorte de calembour, donna à la location son double nom et du côté du locateur et du côté du localaire.Du côté du locateur, ce fut cette expression même sudja « faire sortir » (avec le déterminatif des jambes) qui exprimait l'idée du confiement du sol en mains étrangères à la race qui en avait été investie. Du côté du locataire, le même vocable sudja, mais venant d'une autre racine (avec le déterminatif du livre) servit à rendre l'action de celui qui est chargé de « défendre » et par conséquent de « conserver » le terrain qui lui était confié perdant un temps donné.