D’abord, nos parents ne laissaient pas libre cours à notre imagination, ensuite ils ne
mettaient pas à notre disposition des crayons de couleurs, des pinceaux, de la gouache.
Enfin – et c’est le plus triste – quand on dessinait à la maison, le père venait et nous
disait : « Qu’est-ce que c’est que ça ? » et on recevait des coups car dessiner était pour
lui une perte de temps