Pour François Dubuisson, professeur de droit international à l’université libre de Bruxelles et membre de la campagne Made in illegality [4], il s’agit surtout, pour l’UE, de « prendre une décision minimaliste afin de ne pas en prendre une plus efficace, qui serait la pure interdiction de ces produits — comme l’Union l’a décidé pour les produits en provenance de Crimée après l’annexion par la Russie » [5].